─ Emploi : Nolan vend du rêve et il le vend surtout avec son corps !
─ Études : Aucunes, il n’a même pas fini le lycée...
Sujet: 278|Cole ✻ home is not a place, it's a feeling Mar 28 Aoû - 4:52
home is not a place, it's a feeling
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Cole Thompson
─ Dollars : 650
─ Messages : 86
─ Je suis sur FD depuis le : 15/08/2018
─ Âge : 40
─ Quartier : Downtown
─ Emploi : Adjoint du directeur Caleb Ryder, cabinet politique. Et secrétaire, ça dirait bien.
─ Études : De grandes études en politique pendant plusieurs années
Sujet: Re: 278|Cole ✻ home is not a place, it's a feeling Mar 4 Sep - 5:09
Sweet HomeCole x Lawrence Le temps ne ramène pas les morts. Mais le temps peut parfois rendre le tout plus facile à vivre. C’est ce que dit sa tante chaque jour depuis la mort de son mari, depuis qu’ils ont dû enterré Markus suite à son cancer en phase terminale. Depuis que la vie à quitté son corps, sa présence ce fait de moins en moins sentir dans la maison, et ce n’est qu’un vide froid qu’il a laissé en Cole. Des souvenirs, bien-sûr, mais son deuil est trop prononcé pour le moment pour voir autre chose que le vide qu’il a laissé. C’est si vide que parfois Cole à l’impression que son oncle est partit avec une partie de lui-même. Qu’il ne serra plus jamais le même jeune homme qu’il a été. Et bien-sûr, il a dû perdre la personne la plus significative à ses yeux en même temps que son poste est remis en question à cause de ce nouveau arrivant, Caleb, qui l’a remit en place de secrétaire, alors qu’il avait tant travailler pour devenir directeur. Cole sait que la vie est injuste : Combien de fois il en a payé les prix, combien de fois Markus le lui a dit. La vie est injuste, c’est un fait, mais il pensait que après avoir tout perdu dans son emploi, la vie lui laisserait un peu de répit. Mais non, elle lui avait enlevé le seul homme qui avait toujours cru en lui. Rien ne le tenait hors de l’eau en ce moment. La douleur, la pression, ses insomnies, ça le rendait de plus en plus fou. Il n’y avait pas une nuit où il ne pensait pas à comment sa vie s’était tournée en désastre malgré tous ces efforts depuis des années pour devenir un des meilleurs politiciens. La vie était injuste. C’était un fait.
C’était le soir, et Cole était aller coucher sa tante, s’assurant qu’elle avait tout pour la nuit, avant de lui-même tourner les talons, allant vers sa chambre en se laissant tombé sur son lit, réglant son alarme pour demain. Il finit par retirer son chandail, se laissant tombé sur son lit en soupirant lentement, enfonçant sa tête dans son oreiller en gémissant. Pourquoi la vie devait être aussi injuste? Pourquoi il avait l’impression que, peu importe ce qu’il faisait, rien ne changerait à sa situation? Parfois, depuis l’arrivé de Caleb, il avait vraiment envie de repartir en Italie, là où il s’était sentit libre d’être celui qu’il voulait sans qu’un Monsieur Je Me Crois Tout Permis vienne l’enfoncer. Il se tourna sur le dos, fixant le plafond, alors que la maison était plongée dans le noir complet. Il se demandait si un jour, cela se calmerait entre lui et Caleb : Pour le moment, il ne ressentait que de la haine pour cet homme. De la haine et une attirance maladive qu’il détestait. Il détestait le fait que Caleb soit ce genre d’homme qui l’attirait. Il détestait que Caleb lui aille tout prit. Il détestait cet homme.
Par il ne sait quel miracle, il dû finir par s’endormir, car la sonnerie dans la maison qui retentit le fit brusquement sursauté, le faisant se réveiller d’un coup. Il se redressa dans le lit, surpris quand cela sonna une deuxième fois, lui assurant que cela ne venait pas simplement de son rêve. Il prit rapidement ses souliers, les enfilant, avant d’attraper un chandail pour le mettre, se levant du lit pour sortir de sa chambre. Rassurant rapidement sa tante qui avait aussi entendu les sons, Cole finit par descendre en bas rapidement, allumant la lumière du hall d’entrée, avant d’ouvrir la porte de sa maison, prêt à renvoyer la personne qui venait le déranger à une heure aussi incongrue. Mais quand son regard croisa la silhouette de son protégé, il en oublia tout le reste. Plus rien ne comptait que Lawrence. Rapidement, Cole se sentit bougé, venant glisser ses bras autour de son protégé. « Lawrence! Tu es blessé? Tu m’entends? » Il vient rapidement le soulever dans ces bras, refermant la porte derrière eux pour venir porter doucement son ami sur le canapé, dans le salon.
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Sujet: Re: 278|Cole ✻ home is not a place, it's a feeling Jeu 20 Sep - 18:55
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Sujet: Re: 278|Cole ✻ home is not a place, it's a feeling Lun 24 Sep - 6:28
Sweet HomeCole x Lawrence Une fois déposé sur le canapé du salon, Cole se permet de se séparé de lui pour aller rapidement chercher un médicament contre le maux de tête, les sourcils froncés. Il sait que la vie que mène Lawrence est l’opposé de la sienne : Lawrence est, dans un mot que Cole déteste et désapprouve, une pute, une prostitué. Cole appel plutôt ça un travailleur de sexe. Car, malgré ce que certains disent, c’est un travail, et ceux qui exerce ce travail devrait avoir les même droits que tout ceux qui travaillent : Vous n’avez pas besoin de les comprendre, mais vous avez l’obligation, en tant que personne, de les respecter. Ce n’est pas une simple « pute » , un simple objet, c’est un travailleur, comme lui, comme tout le monde, qui offre son corps, sa vie, pour survivre dans un monde qui n’a pas été garant envers lui. Cole n’appellerait jamais Law’ « pute ». C’était un travailleur, oeuvrant dans le domaine du sexe. Et c’était tout. Mais bien qu’il respectait ce travail, qu’il respectait Lawrence, cela ne l’empêchait pas de vouloir que Lawrence fasse autre chose de sa vie. Plusieurs fois depuis sa rencontre avec son protégé, Cole s’était disputé avec lui à propos de ça. Il souhaitait que Law’ aille mieux. Une job décente, que Lawrence aimerait sincèrement, mais surtout où il ne reviendrait pas en pleurant. Car il fallait être aveugle ou idiot pour ne pas comprendre que ces larmes venaient bel et bien de son métier. Une seule chose pouvait mettre autant Lawrence dans tout ces états, et Cole le connaissait assez bien pour le savoir. Mais cette fois, cela semblait bien plus grave, alors que le jeune homme le remerciait pour le médicament, le prenant. Cole hocha de la tête, lentement, alors qu’il glissait sa main dans les cheveux bouclés de Lawrence pour les effleurer, le regard triste.
Law’ semblait détruit. Encore plus, dévasté, autant de la douleur physique que mental. Il ne réagissait même plus réel à leur monde, comme s’il était ailleurs. « Tu sais, tu as toujours mentit très mal, Lawrence… », souffla le politicien en venant s’assoir à ses côtés, restant à une bonne distance de lui pour ne pas l’effleurer. « Tu ne peux pas dire ça, Law. ‘Simplement’? C’est bien plus que ça, Lawrence. Tu trembles, tu as mal, tu souffres de partout… Tu n’as pas simplement déplu à un client. Il t’a battu? Il t’a fait du mal? Tu sais, tu as le droit à un avocat, toi aussi. Tu as tes droits, Lawrence, tu restes un humain, une personne. Tu n’es pas un objet. », siffla le politicien. Il garda le silence en détournant le regard, avant d’hocher la tête. « bien-sûr que tu peux rester à dormir » , souffla l’homme en se levant. Il monta en haut rapidement, avant de revenir avec une couverture et un oreiller, qu’il plaça le tout sur le divan où était assit Lawrence. Il lui tendit la couverture, soupirant lentement. « Lawrence… Tu sais que tu es chez toi, ici? », dit lentement Cole en venant glisser sa main dans ses cheveux. « Je te protègerais, toujours. Et si tu dois avoir un avocat, je te le payerais sans problème… » dit Cole avec certitude. Il se redressa, se laissant tombé sur une chaise plus loin pour laissé à Lawrence le canapé. « Tu devrais te reposer, je ne reste pas loin, si tu as besoin de moi… » Il ne serait jamais loin, pas quand cela concernait son protégé.