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 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.

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Aurora De Luca
Aurora De Luca
─ Dollars : 395
─ Messages : 169
─ Je suis sur FD depuis le : 23/08/2018
─ Âge : 30
─ Quartier : Dans le west side avec mon petit frère, au plus loin qu'on a pu physiquement s'éloigner de là où mon père régit.
─ Emploi : Je charme avec ma voix, avec mes courbes. Je chante, je me déhanche. J'hypnotise, je m'effeuille. Une voix de velours, une peau satinée. Je suis chanteuse mais principalement strippeuse.
─ Études : Je me passionne de la vie, de chaque être vivant que dieu a placé sur cette terre. Notamment les animaux. Je me démène pour être un jour soigneuse animalière. Je fantasme, plutôt.
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MessageSujet: Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.   Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. EmptyJeu 23 Aoû - 8:19

AURORA DAFNE DE LUCA
So take it how you want it
Take all my love






→ id card
NOM: De Luca, aux tonalités européennes, latines. Reflet des origines qui font la fierté du patriarche. La tradition italienne rigoureusement transmise, appliquée. Avec honneur, dignité. Un nom qui fait ma honte, ma désolation. Qui signe la mort de mes rêves, trace mon destin. PRÉNOM : Aurora, poupon aux boucles dorées et au lourd sommeil, ma mère, encore rêveuse, encore heureuse se permettait d'avoir un sens de l'humour. Dafne, en héritage de ma grand-mère paternel, une femme à la poigne de fer. La seule à ne jamais trouvé qu'il y avait bon être une De Luca. Sentiment que je n'ai jamais su partagé avec mon homonyme. ÂGE : Incapable de ralentir l'engrenage du temps, l'aiguille de mes années a pointé la vingt-quatrième. DATE DE NAISSANCE : Bélier, Chien. Le quatre avril mille neuf cent quatre-vingt-quatorze à Chicago.   NATIONALITÉ : Américaines. Comme tout enfants de ce monde, j'ai de multiples origines. Connus ou non. Toutefois, je me considère fière américaine aux origines ritals. C'est ce qu'on m'a élévé à devenir. Alors, c'est ce que je suis. J'ai beau renié mon père, la grande partie de ma famille, il n'en est pas moins qu'ils ont réussit à faire de moi, ce que je suis. ORIENTATION SEXUELLE : De l'amour, j'en ai à revendre. Je suis un être de générosité. Ce n'est pas le genre qui m'attire mais la personnalité. Je suis pansexuelle. Si de ma sexualité, j'en suis fière. Je n'ai pas forcément la liberté de l'assumer. Je suis une issus de fervente famille catholique, après tout.   SITUATION MATRIMONIALE : Si je suis un être animé d’amour, mon cœur est rarement dans la ligne de mire. Certains supposerait que c’est parce qu’il n’est en premier lieu pas à prendre parce que conquit, il l’est déjà. Et quelques part, ce n’est pas faux. Il y a bien une personne qui réside mon cœur depuis trop longtemps pour que je sache comment commencer à l’en chasser. Pourtant, à l’y préserver chaudement logé, ce n’est que moi que je fais souffrir. Ceci est conséquence d’un amour à sens unique, d’un amour impossible entre deux amies, les meilleurs du monde. J’offre mon corps, je jouis de la bonté de certaines âmes. Ne cherchant plus une personne qui saurait m’aimer, non. Je vague sur ce qu’on veut bien me donner, ce que je me convint me suffire. Les mœurs légères, pourtant, ce n’est pas ce que j’ai. Je suis une rêveuse, une idéaliste mais je sais être réaliste. Mon cœur est camouflé sous la merde et la crasse qu’est ma vie. Là, où rien et personne n’a de valeur, d’estime. Je ne vaux rien, je ne mérite rien et mes rêves de princesse, avec l’âge, en cendre, se sont envolés FILIÈRE/ETUDES (pour les personnages en cursus scolaire) : Je suis une formation pour devenir soigneuse animalière. Ce n'est pas le métier dont je rêvais enfant. J'aurais aimé être un véritable médecin. Un vétérinaire, un vrai. Autant dire que j'étais et je reste la risée de ma famille. J'étais destinée à mettre la patte dans le business familiale comme tout membre respectable de ma famille. Mais j'emmerde le destin et ce n'est pas les coups de mon père et les moqueries des autres qui sauront me faire plier. J'ai subi, j'ai encaissé et j'estime que j'ai mérité de m'en sortir. Et la lumière du tunnel, maintenant perceptible, je ne peux toujours pas courir vers celle-ci. Pas quand mon frère s'enfonce dans la décadence, dans les enfers.   EMPLOI (pour les citoyens, anciens étudiants, ou les étudiants possédant un petit job) : Charmeuse d'homme. Je suis stripteaseuse depuis assez longtemps pour ne pas être inconnue par les habitués qui échouent quotidiennement dans le club. Cette année, je célèbre ma sixième année d'ancienneté. Yumi, c'est ainsi qu'on m'appelle. C'est le nom qu'ils acclament quand je monte sur scène, quand je me déhanche, chante, m'exhibe. Une strippeuse qui chante, ce n'est pas commun, c'est la particularité de mon show.  SITUATION FINANCIÈRE: Modeste. Je gagne suffisamment pour vivre, pour économiser pour vers ma liberté. Certains disent que la liberté n'a pas de prix mais quand on a rien, tout a un prix et souvent, il est bien couteux. QUARTIER RÉSIDENTIEL: Le west même si, ce n'est pas l'envie qui manque de résider ailleurs. Mais entre les lieux hors de prix et les territoires ennemis, ils ne reste plus beaucoup de place où loger le nid que je partage avec mon jeune frère. Un modeste appartement aux murs si fins que l'impression d'assister aux premières loges des ébats de mon frères est devenu mon quotidien. Un appartement situé à quelques rues seulement de cette famille que cherche à fuir. Je n'ai pas la chance de tirer de la vie ce que j'en veux. GROUPE: Broken souls SCÉNARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ : inventé ou scénario officieux, si on veut  Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2526826356 [/i]



→ petites anecdotes
 
J’avais douze ans quand j’ai fumé ma première cigarette. Toutefois, pour la première latte, j’en avais cinq. Ca n’avait été que la curiosité d’une gamine qui voyait à longueur de journée son père porté ce petit tube cylindrique à ses lèvres. Cendrillon, il m’appelait quand il me demandait de vider son cendrier. J’étais fière de ce petit nom que je pensais d’amour. J’étais naïve, rêveuse et désireuse d’obtenir l’affection paternel qui me sera à cause de ma mère, à tout jamais refusé. Douze ans, première clopes, derrière le gymnase du bahut avec les potes de l’époque. Une expérience loin d’être aussi rebutante que la première. Une sensation de sublimation d’angoisse temporaire. Sentiment addictif dont je n’ai su me débarrasser. Alors, je fume même si ça pue, même si ça nique mes sous, même si ça pourrie ma santé. Et au fil du temps, au tabac se rajouta la beuh et j’ai fumé pour oublier, pour voir le bout de mes journées.  Je n’ai jamais quitté Chicago. Pourtant, ce n’est pas l’envie qui manque. J’y suis née, y ai grandi et y vit encore actuellement. Plus précisément, j’y survis. Mais que mon âme brûle dans les flammes éternels de l’enfer si jamais je viens à y mourir. On vient au monde et on meurt, c’est le cercle de la vie mais pitié, partout ailleurs, sauf ici. Pourtant, y rester, j’ai bien faillit. Assez de plus d’une fois pour savoir que le temps m’est compté. Je cours peut-être au-devant de ma fin mais si j’ai couru assez loin, ce ne sera selon moi, pas si tragique. A travers la grande ville de Chicago, je me déplace principalement à pied ou en transport en commun. Je sais conduire une voiture, une moto, également mais pour autant, je n’ai jamais obtenue le permis de conduire ces véhicules. Parfois, je me risque à emprunter la bécane de mon frangin en cachette et d’autres, la voiture de mon meilleur ami. Ca semble idiot présenter ainsi mais je côtoies suffisamment de criminel pour ne pas désirer en devenir une. Ce, même si mon crime comparé au leurs est farouchement ridicule. Mais dans l’engrenage, on y tombe si facilement. Et l’expression a beau dire mais quand on est à terre, on peut encore tomber plus bas.   Le corps cabosser par les coups de mon père, c’est de cette manière que j’ai grandi. Les bleus de ses poings, les lamelles de peaux effritées par sa large ceintures et les os tremblants de ses coups de pieds. Mon enfance est ponctué par la violence de ses actes. La déception brillant au fond de ses pupilles d’avoir enfanter un être aussi chétif, le portrait de cette femme qui a mis à mal le peu de cœur qu’il possédait. Qui a trahi sa confiance et malmener sa fierté d’homme. Il n’a jamais été un père modèle, jamais. Mais quand elle est parti, la décente aux enfers était alors inévitable. J’en ai subi les conséquences et mon frère, malgré tous mes efforts, tout ce que j’ai pu encaisser à sa place, je n’ai pas pu le sauver, le préserver du courroux de mon père.Mon courage insensé a lui tenir tête m’a valu quelques aller-retours à l’hôpital. Des os cassés, des blessures internes. Il n’a jamais retenue ses coups même pas pour ses propres enfants. Et c’est des mains de mon propre géniteur que j’ai bien failli succomber. C’est là que j’ai perdu tout espoir, où j’ai réalisé qu’on avait beau être là chaire de sa chaire, il n’aurait aucun scrupule à nous envoyer six pieds sous terre. La peur de lui rester entre les mains ne m’a pas fait lui soumettre pour autant. Le destin qu’il me réserve, je m’y refuse. La force de mon âme éblouit la faiblesse de mon enveloppe charnelle. Mes convictions, mes principes et ma volonté sont de fer. Je lui survivrai et je lui reprendrais mon frère, quoiqu’il m’en coûte. Car tous ces coups, tout ce mal, je peux l’endurer. Pour lui, le joyaux de mon âme. Mon petit frère, mon petit bébé. Ma kryptonite. J’ai toujours adoré les animaux. Ils sont tellement pures, ils n’ont rien de la malveillance des hommes. Mais tout comme moi, ils n’en sont pas toujours épargnés. Gamine, je réduisais mes maigres ration pour en faire profiter les chiens errants. Il n’y avait rien de plus attendrissant que de les voir accourir vers moi, la queue battant l’air de contentement. Aujourd’hui, je descends toujours en nourrir quelques-uns mais mon Cerbère n’aime pas partager mon affection. Cerbère est mon staffordshire de trois ans. Il avait moins d’un an quand je l’ai trouvé. Farouche chiot des rues, gisant au milieu des poubelles. Ce sont ses plaintes de souffrance qui m’ont amené à lui. Une large marque de morsure striant son pelage grisonnant alors que cette petite mare s’élargissait à vue d’œil de son sang. Je n’ai pas réfléchi aux risques que j’encourais à soulever ce pauvre animal blessé de terre. J’aurais pu y laisser un doigt mais face à la détresse de ce pauvre être, je n’ai su rester de marbre. Pourtant, il n’a rien attenté, il n’a même pas cherché à se défaire de ma prise et j’aime à croire qu’il a quelque part senti ma bienveillance. Le prix de ses soins m’a forcé à pioché de manière conséquente dans mes maigres économies mais cette vie valait la sueur de mon front. De lui, j’ai pris soin et bientôt, je lui trouvais un nom. Cerbère, parce qu’il a survécu aux enfers. Tout comme, j’espère un jour le faire. Depuis ce funeste jour, nous sommes inséparable.   Gamine, c’est dans les jupes de ma mère que je me réfugiais. La majeure partie du temps, c’était perchée sur le plan de travail que je l’observais opéré sa magie. Elle m’y déposait, m’expliquait ses innombrables recettes de grand-mère bien que je fusse à l’époque trop jeune pour y comprendre quoique ce soit. J’aime repenser à ces moments comme les rares moment mère-fille qu’on a eut l’occasion de partager. Des instants précieux que je chéris jalousement. Je ne lui en veux pas d’être partie, plus maintenant. Avec le temps, j’ai fini par l’envier de son courage. Laisser cette vie derrière elle, sortir de cette merde, elle a réussi. Comment pourrais-je lui en vouloir quand je sais qu’elle n’avait que à perdre à rester. Tout laisser derrière elle, ses deux enfants à peine en âge de comprendre qu’ils perdaient la seule personne qui avait su leur montrer ne serait-ce qu’un miroitement d’amour. Pour ça, je ne saurais jamais comment lui pardonner, toutefois. Seulement parce que je ne saurais jamais comprendre comment est-ce qu’elle a pu se défaire de cet attachement. Comment elle a pu abandonner la chaire de sa chaire derrière elle. Parce que moi-même, je préfèrerais encore crever qu’abandonner mon frère derrière moi. Après son départ, dans la cuisine, j’ai pris sa place. En réalité, il n’y a pas que là que j’ai dû la relever. Je m’occupais de la maison, élevait mon jeune frère. J’étais celle qui lui lisait des histoires avant qu’il ne s’endorme, celle qui le réconfortait après ses cauchemars nocturnes. Celle qui soignait ses blessures, achetait ses fournitures scolaire. Celle qui l’habillait, le lavait, le nourrissait jour après jour. Du haut de mes six ans, je suis devenue la mère qu’il n’avait plus. C’était à mon tour de le percher sur le plan de travail pendant que j’expérimentais mes premières recettes en essayant de me souvenir de celles de ma mère. A force, je suis devenue une bonne cuisinière. J’ai un palet difficile, l’estomac fragile. J’aimerais pouvoir avaler tout ce qui me passe sous la main sans me soucier de savoir si oui ou non, je saurais digérer. Certaines personnes préfèrent croire que je suis boulimique ou que j’ai un problème alimentaire quelconque mais ce n’est pas le cas. Vraiment pas. Je ne vais pas de ma volonté propre régurgité mes plats. C’est clairement du gaspillage, si vous voulez mon avis. Je n’ai pas choisi d’être aussi sensible avec la nourriture. C’est une condition que je qualifierait d’handicapante. Il m’est arrivé une fois de me rendre au dispensaire du quartier pour expliquer mes symptômes. Mais quand le médecin m’a demandé si j’étais enceinte, j’ai tourné les talons bien vite. Il s’est avéré qu’enceinte, je n’étais pas non plus. J’avais juste eu, quelques dollars en moins à cause d’un test de grossesse et la peur de ma vie. Même si c’est pas toujours simple, je vis avec. J’ai pas trop le choix mais rassurez-vous, je ne suis pas dégouté par tout ce que je vois ou sens, je ne suis capable de garder des choses dans mon estomac et suis même capable de prendre du poids. Je suis secrètement amoureuse de la romance. Je peux lire à longueur de temps d’amour sans jamais me lasser. Il m’arrive même parfois d’écrire à propos. Ma plume n’est pas aussi remarquable que celle qui noirci les pages de mes romans préférés mais parfois, ces scénarios sont dans ma tête et tant que je ne les ai pas couché sur papier, il est facile pour moi d’en être obsédée. Visionner des films romantique m’emporte bien moins vers cet univers de rêve. Je ne saurais dire exactement pourquoi. Peut-être parce qu’un film à une approche plus réaliste des choses. Peut-être que voir de réels être-humains donner vie à l’amour donne envie de s’y voir vivre une aussi ? L’amour, c’est facile dans ma tête. Là-haut, l’amour est beau. Elle ne fait pas mal, elle est toujours partagée. Et personne ne vous renvoie votre amour dans la figure pour simplement disparaitre. Personne n’abandonne, personne ne brise un cœur. Enfin, si, c’est le cas. Parce qu’il n’y a rien de plus poignant qu’une histoire d’amour qui connait son lot de drame, de tragédie. Mais dans ma vie, j’ai bien assez de toute ces conneries. Et prisonnier de mon esprit, l’amour ne peut blesser autrui. Moi, en particulier. Alors je lis, je rêve, j’écris ce que j’ai moi-même peur de vivre. Parce que la souffrance d’un cœur brisé ne m’est finalement pas inconnue. Et qu’il n’y a que le sexe qui s’embellit avec la douleur. Envers et contre tout. Même si je ne saurais expliquer si oui ou non tout arrive réellement pour une raison. Même si je sais pas pourquoi est-ce que ce monde peut être aussi misérable. Même si j’ignore pourquoi est-ce que sur cette terre, il existe des êtres aussi ignobles. Je suis croyante. Je crois au paradis, à l’enfer, à la vie après la mort. Je crois en cet être tout puissant, en dieu. Je crois aux jours meilleurs, à la rédemption. A l’espoir. Je ne vais pas à la messe tous les dimanches, je ne suis pas spécialement pratiquante, ni ne respecte parfaitement les instructions véhiculer dans la bible. Et comme tout le monde, j’ai eu mes doutes. Je ne parvenais à comprendre comment est-ce qu’on pouvait se dire catholique et pourtant être un être abjecte. Entourée de parfait hypocrites, de vile mécréant qui pardonnait leur actes infames par une visite dans le confessionnal. J’ai renié dieu, je l’ai blâmé. Comment pouvait-il être bon quand ses fidèles étaient aussi mauvais ? Mon refus de me rendre à la messe m’a valu la flagellation par la ceinture de mon père. Mais je suis une femme têtu, une femme de principe. Je ne serais pas une énième hypocrite, jamais. A mesures que les jours sombres se succédaient, que je perdais l’espoir de m’en sortir, que la culpabilité s’accumulait devant mon impuissance à sauver mon frère des griffes du malin. C’est inexorablement vers Lui que je me tournais. Vers Dieu. Le berger de tout Homme. Graciée de sa lumière célèbre, je retrouve mon optimiste. Le courage de me battre, de m’en sortir. J’avais vingt-et-un quand entre mes omoplates, je me suis fais tatouée une croix. Mais le J.C qui noirci mon poignet gauche n’est pas pour Jésus Christ mais pour Junior Connor.

  J'ai déjà songé à recourir à la chirurgie. Pour mes fesses, mes seins. Pas parce que je suis complexée. Mon physique n’a pour moi pas une importance vitale. En ce bas monde, il y des choses bien plus crucial. Si je l’ai envisagé, ce sont pour des raisons strictement professionnel. Pour raisons évidentes. Une strippeuse avec un gros cul et des gros seins, se fait inévitablement plus de sous. C’est mathématiques. Les nougats chinois aux cacahuètes. C’est ma came. De loin ma sucrerie préférée. Et pour mes envies salées, les noix de cajou. J’ai toujours un paquet qui traine quelque part. Je ne sais pas nager, je n’ai jamais appris. Le fait que j’ai une peur bleu des profondeurs n’ont pas aidé. Ma couleur préférée est le bleu. Celui du ciel, de la nuit. La couleur de la liberté, selon moi. De la preuve que le monde est vaste. De la liberté aussi, parce qu’ailleurs dans ce vaste monde, j’ai peut-être une meilleure vie qui m’attend. Je suis douée aux jeux d’arcades, aux jeux vidéo. C’est mon talent, j’y peux rien. C’est inné. Le matin, regarder des dessins animés en sirotant mon café, c’est mon rituel. D’ailleurs, je sais que je ne devrais pas, étant hyperactive mais je n’y peux rien si je suis accrocs à la caféine. Sans sucre, bien sûre. Dénaturé la douce saveur du café est un péché. Le baseball, le football, le basketball. Peu importe, dès qu’il y a un match, je le regarde. En dépit de l’amour que je ne porte absolument pas pour ma famille, pour mon petit frère, je ne rate jamais les déjeuners dominicaux. Je crois avoir un sérieux problème avec le sexe. Je crois que je suis peut-être accroc. J’en sais rien. C’est juste que je ne sais pas m’en passer. L’adultère est un péché qui est devenu un exutoire. Un moyen de libérer cette rage qui me pourrie l’âme. Ma saison préféré est le printemps. Les brises fraiches et les doux rayons du soleil. La saison de la résurrection des fleurs. Les habits légers réchauffé d’une fine veste. Le juste milieu, la balance idéale. J'ai le vertige. L'inexplicable peur du vide. Mes plus grandes forces sont plus grandes faiblesses. Mon aisance à aimer. Ma loyauté infaillible. Ma fierté impérieuse. Mon obstination sans faille. Ma générosité sans limite. Et mon optimisme candide.

→ derrière l'écran
PSEUDO/PRÉNOM: Pilgrim,mais je m'appelle Mehza. ÂGE: J'ai 24 ans  FRÉQUENCE DE CONNEXION: Au rythme que la vie m'impose, c'est variable mais dès que je peux  Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 774445667   OÙ AS-TU DÉCOUVERT LE FORUM ? PAR QUI ? Par ma bae  Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3719929138   ET, TU EN PENSES QUOI ? DES SUGGESTIONS ? Première impression, bonne! J'aime beaucoup le contexte même si je ne suis pas une habituée du tout des rpgs gangs, l'expérience promet d'être bonne  Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 1903395547   UN MOT À AJOUTER ? hâte de jouer avec vous  Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 1792334593   SOUHAITES-TU RÉSERVER LE NOM ET/OU PRÉNOM DE TON PERSONNAGE Pour le nom, oui. Le prénom, aussi, aller. Merci  Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 390824067



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Dernière édition par Aurora De Luca le Sam 25 Aoû - 20:14, édité 16 fois
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Aurora De Luca
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─ Études : Je me passionne de la vie, de chaque être vivant que dieu a placé sur cette terre. Notamment les animaux. Je me démène pour être un jour soigneuse animalière. Je fantasme, plutôt.
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MessageSujet: Re: Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.   Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. EmptyJeu 23 Aoû - 8:20

SA P'TITE HISTOIRE
They say that the world was built for two
Only worth living if somebody is loving you  


❈Kiss me hard before you go.
Strident dans le silence paisible d’une chaude nuit d’été. Le cri d’une femme en peine, d’une femme désespérée de se voir la vie arrachée. D’un homme aveuglé par sa colère, meurtri d’une blessure que seule une femme au cœur brisé peut octroyer. Tout ces cris, ces pleurs et ces bruits de martèlement venant briser la tranquillité chaleureuse que la brève incarcération du patriarche avait abattu sur cette maison. Aurora n’aurait pas dû mettre un pied hors de sa chambre. Cette altercation n’était clairement pas destinée à être surprise par le regard horrifié d’une enfant. « T’es une garce, une putain de salope, Addie ! », mais camouflée derrière cette porte entrouverte, elle observait pour la première fois, impuissante à la violence de ce monde. La peur tétanisante de craindre pour la première pour la vie d’un être aimé réduisait en cendre la joie de revoir son père pour la première fois depuis un long mois. Riccardo De Luca n’était pas un homme parfait et encore moins était-il un père parfait. C’est à peine s’il lui adressait la parole si ce n’est pour la réprimander ou critiquer la faiblesse dont elle faisait preuve par moment. Mais du haut de ses six ans, elle n’avait pas encore la capacité de comprendre que ce genre d’attention n’était en rien un signe d’affection paternel. Alors elle l’aimait son père, elle paradait toujours pour son approbation. Un simple sourire, un seul. Mais il n’avait jamais sourit que pour sa mère. « Tu pouvais pas m’attendre comme une putain de bonne femme ! Oh, non, il fallait que je te trouve au lit avec ce pd ! », Addison, sa mère, la personne la plus aimante et douce qu’elle connaisse se redressait faiblement du lino où elle avait atterri pour soutenir le regard de son mari. La petite main de l’enfant se plaqua contre ses propres lèvres quand pour la première fois, derrière le rideau de boucles dorés de sa mère, elle apercevait son visage. Son si beau visage, ravagé. Elle avait un unique œil ouvert tandis que l’autre, boursouflé restait fermé. Du sang perlait de sa pommette, là où sa chaire avait éclaté. La jeune enfant pensa qu’elle perdait la tête quand d’entre ses lèvres un rire fou s’échappait. Elle avait beau cherché, elle ne trouvait pas ce qu’il y avait de drôle. Peut-être est-ce que ce n’était qu’un jeu ? Peut-être que les choses n’étaient pas aussi grave qu’elle paraissait. Mais Aurora n’était que jeune, pas stupide. « T’attendre pour quoi exactement, Rick ? Tu m’avais promis le monde et tu ne m’as offert que désolation. T’attendre pour que tu me déçoive encore et encore ? T’es incapable de me rendre heureuse. », elle rit encore. « Incapable de me faire jouir comme lui. T’es un être abjecte, pathétique. » Aurora sursauta en même temps qu’elle étouffait un cri contre sa propre paume quand son père bondit sur sa mère. Le bruit de l’impact de la tête de sa mère contre le mur résonnait dans ce silence malsain. Il l’avait plaqué avec violence contre le mur et la maintenait avec force par sa gorge à quelques centimètre du sol. La panique pulsait dans ses veines, le besoin d’agir propulsait ses membres à l’action. « Rora… », ce simple murmure l’immobilisa quelques secondes, le temps qu’elle comprenne qu’elle avait un choix à faire. Le petit garçon la dépassait, ballotait de gauche à droite avec cette démarche caractéristique que seuls les enfants possédaient. Les enfants et les pingouins. « Mam… », elle avait bondit hors de sa cachette pour plaquer cette fois la paume de sa main contre les petites lèvres de son petit frère. Les larmes du jeune enfant montait à ses prunelles et maladroitement, elle le souleva du sol pour l’emmener une nouvelle fois derrière l’abris que leur offrait la porte. « Gattino, stai calmo. », les deux genoux au sol, dans ses bras, elle serrait son jeune frère contre elle. « N’ai pas peur, je suis là, pleure pas, s’il te plait. », elle lui murmurait, le suppliait alors qu’elle observait, soulagée, son père relâcher sa mère. Ses quintes de toux brisaient le silence, ses sanglots l’obligeait à serrer un peu plus contre elle son frère. Ses doigts caressaient sa fine chevelure et ses lèvres, murmuraient inlassablement des mots réconfortantes. Riccardo était dos à Addison, ses mains tremblantes devant son propre regard horrifié. « Casses-toi avant que je… », il ne termina jamais sa phrase, elle n’attendit pas non plus qu’il aille au bout de cette pensée quand elle se redressa pour détaller hors de la maison. Le cri de rage qui s’en suivit fut déchirant car il ne camouflait nullement la peine que son père ressentait. C’était le bruit d’une âme qui se consumait et Aurora n’attendit pas qu’il soit réduit en cendre avant de se redresser et d’emporter avec elle son petit frère jusqu’à sa chambre. Dans son lit, la couverture remontée jusque leurs épaules, elle le regardait, essayant vainement de retenir les larmes qui inondaient tout de monde son visage angélique. La petite main de son frère venait chasser ces perles salines de son visage. « Pleure pas, Rora. Je suis là. », il lui répétait ce qu’elle n’avait pas cessé de lui répéter dans ce couloir. Malgré sa détresse, sa peine, un sourire étira ses lèvres roses. « C’est toi et moi, maintenant. Contre le reste du monde. », elle l’avait rapproché d’elle, laissant leur petits corps s’épouser harmonieusement. La petite menotte du garçon s’enroulait autour d’une de ses boucles, une habitude qu’il avait prise. « T’aime, Rora… Zusqu’au étoile ! », il lui avait dit en pointant du doigt les constellations brillantes dans ce ciel sombre. « Moi encore plus encore, plus loin que l’infini. », elle lui avait répondu, scellant ce pacte qui lierait leur deux âmes pour l'éternité.

Promise you'll remember that you're mine.
La chaleur d’un corps contre son dos, la prise sécure d’un bras en travers son ventre plat et ce souvenir, le souvenir de ses lèvres sur les siennes. De ce baiser inespéré mais tellement désiré. De la passion qui s’en était dégagé. De ces papillons qu’elle avait senti prendre envole au creux de son estomac. Des sautillements d’allégresse de son cœur dans sa poitrine. Et le miel de ses lèvres que même l’alcool n’a su dénaturé. Il lui était difficile de savoir exactement à quel moment est-ce que les forts sentiments qu’elle nourrissait pour son meilleur ami avait commencé à changer. Encore plus dure de prendre conscience qu’il n’était plus à ses yeux seulement le plus vieil et le plus proche de ses amis. De comprendre comment est-ce qu’on pouvait tomber amoureuse d’une personne qu’on avait connu pratiquement toute sa vie, une personne qu’on avait vu grandir et devenir cette personne dont on ne saurait vivre un jour de plus sans l’avoir dans sa vie. C’était il y a longtemps mais elle était toujours capable de se souvenir de la première fois qu’elle l’avait rencontré. Cette fresque murale qui avait réuni tous les élèves de la maternelle dans la grande court de récréation. Elle se souvenait de ces deux petits garçons qui avaient bousculé ce petit gringalet aux boucles brunes sur un pot de peinture. La peinture avait été verte, elle revoyait encore la large flaque dans lequel le petit garçon baignait. Les garçons riaient, ils riaient et se moquaient et assister à cette scène lui avait fait perdre tout sang-froid. Aussi loin qu’elle se souvienne, elle n’avait jamais su fermer les yeux. Défendre la veuve et l’orphelin, c’était juste vital pour elle. Alors elle n’avait pas réfléchi quand à son tour, elle avait ramassé un pot pour en déverser le contenue sur les deux tyran de la cour de récré. Rouge, avait été la peinture. Elle en avait eu plein des doigts pendant deux jours. Du vert, aussi. « Je suis Aurora. », elle avait eu le temps de tendre la main vers lui, de joindre sa main à la sienne pour la toute première fois avant que les enseignants ne la conduise dans une salle de classe. Pour qu’elle réfléchisse à ses actions, parait-il. La jeune enfant qu’elle était n’avait peut-être pas réfléchi avant d’agir mais jamais, ô grand jamais elle n’avait regretté quoique ce soit. Et au fil des années, à mesure qu’ils grandissaient, elle n’a simplement jamais cessé d’être son chevalier en amure. S’il avait la force d’encaisser la méchanceté des gamins, elle n’était et ne sera jamais capable de supporter qu’on malmène les gens qu’elle aime. Jamais. Que ce soit contre ces gamins, contre son père. Elle n’a jamais réfléchi mais n’a jamais regretté même quand la situation promettait d’être périlleuse pour elle. Un sourire étirait ses lèvres pleines en sentant la main du brun se resserrer autour de sa fine taille. « Bonjour sweetie. », sa voix rauque, suave contre le creux de son cou faisait frémir son corps entier. « Bien dormi, belle au bois dormant ? », ironique, puisqu’elle était celle qui portait le prénom de cette princesse et elle réussit à lui soutirer un petit rire. Inaudible mais elle pouvait sentir son corps vibrer contre son dos. « Me fait pas rire, ça résonne dans mon crâne. », c’était à son tour de rire. La blondinette s’était détachée de lui, s’était retournée pour lui faire face. Toujours ce sourire sur ses lèvres, réflexion de son bonheur. Elle pointa son index sur l’arrêt du nez du brun, si long, si fin. « Tu as définitivement trop bu hier soir. Mais pour ce que c’était, un simple mal de crâne, c’est pas si grave. Tu ne penses pas ? », elle faisait clairement référence au baiser qu’ils avaient partagé et le voir grimacer ainsi lui fit perdre son souvenir. A la place, ses sourcils se creusaient. « Bof, y’a eu plus mémorable. », ses sourcils se fronçaient d’avantage et son sourire, finalement avait disparu. Elle ne comprenait pas comment est-ce qu’il pouvait réduire ce qui s’était passé entre eux à une expérience si peu marquant. « T’es sérieux ? », elle espérait croire qu’il la faisait marcher, qu’il la taquinait. Que pour lui aussi ça avait été parfait. Pour lui aussi ça avait été désiré. Mais à la place, il se tortillait et ignorait sa question en lui en posant une autre après avoir sortie une boule de dentelle de sa poche. « C’est à toi ? », c’était une culotte. Une culotte qui n’était pas la sienne. Lawrence occupait une place importante dans sa vie, dans son cœur. Presque aussi considérable que celle que son jeune frère occupait. Ils étaient à tous les deux, les personnes les plus inestimable, primordiale de sa vie. C’est pourquoi elle préféra serrer le poing plutôt que de le lui envoyer en pleine figure. « J’ai promis à Junior que je l’aiderais à faire ses maths. », elle avait répondu à la place. Les mots passant la barrière de ses lèvres un à un avec une lenteur déconcertante. Elle n’attendait pas son reste quand elle s’extirpa fébrilement du lit, déglutissant encore et encore comme pour ravaler se sanglot qui menaçait de lui échapper. Il ne l’avait pas retenu ni n’avait-elle tenté de comprendre d’avantage. Pour elle, ce fut plutôt évident alors qu’elle se refugiait dans son lit, les corps tremblant des sanglots qui déchirait son cœur. « Ca ne voulait rien dire pour lui, rien du tout. », l’air lui manquait à mesure que ses sanglots s’intensifiait et que dans sa poitrine, il ne reste plus que douleur. Un bras venait l’enlacé par derrière et contre son dos, elle pouvait sentir la dureté du torse d’un adolescent. « Mamma… », dans la voix de son jeune frère, elle pouvait entendre sa souffrance en écho au sien. « Je suis telle…ment stupide… », elle peinait à articuler. Elle sentait sa prise se refermer autour d’elle, stabilisant les tremblements de son corps, le déchirement de son cœur. « T’es parfaite, mamma. Pleures pas, je suis là. », mais elle pleura encore et encore, jusqu’à ce qu’elle finisse pas s’endormir, logée en sureté dans les bras de son petit frère. Bercée par son amour bienveillante. Le lendemain, elle ravala ses sentiments, fit comme si ce baiser n’avait jamais existé. Que ses sentiments non plus. Elle ne pouvait pas perdre son meilleur ami pour ça, ce n’était pas sa faute s’il ne l’aimait pas autant qu’elle l’aimait.

Heaven is a place on earth with you.
La liqueur descend le long de sa trachée, incendiant derrière elle, son sillage. A cette sensation, après le nombre de shot qu’elle avait descendue, elle pensait qu’elle s’y serait habituée mais voilà qu’elle grimaçait, qu’elle sentait son estomac se crisper. Protester de ce mauvais traitement. Mais son organe interne pouvait compatir avec ses poumons qui se gonflaient de fumée. Nicotine, beuh. Le discernement n’était à ce stade plus aisée. Son esprit enveloppé d’un nuage de coton, embrumé. La voilà rendue en ce territoire tant convoitée par les gens en peine. Le royaume de l’oubli, là où aucun soucis ne subsistait. C’était un lieu dont les mérites étaient selon elle faussement vantée parce qu’elle n’avait pas oublié l’objet de sa souffrance. Non, malencontreusement, elle avait rejoint le monde de l’illusion, des rêves. « Aurora… », suave, rauque, certes mais ce n’était pas sa voix à lui. La jeune adolescente avait beau le savoir mais ce n’était pas cette réalité que son cœur désirait croire. Dans cette réalité, elle ne surprenait pas l’homme qu’elle aimait embrasser une autre personne. Une personne qui s’avérait être un autre homme, réduisant à tout jamais ses chances à néant. Dans cette réalité, l’homme qu’elle aimait était un meilleur ami suffisamment honnête pour lui dire où la balance de sa préférence penchait, surtout après le baiser qu’ils avaient partagés. Ce même baiser dont ils n’avaient plus jamais reparlé après qu’il ait insinué qu’il avait été insignifiant. Peut-être que les signes étaient là tout du long. Qu’elle était simplement trop aveugle pour les voir, trop désireuse de se voir attribué un happy ending se réaliser. Dans cette réalité, ce n’était pas ce garçon populaire qui laissait courir ses doigts entre les cuisses de la cheerleader. Ce n’était pas les lèvres de ce jeune homme qu’elle sentait sur ses lèvres, ce n’était pas à son baiser qu’elle répondait avec ferveur, ce n’était pas contre sa protubérance qu’elle frictionnait sa paume, non. Dans cette réalité, dans cette illusion, ce rêve brumeux. C’était Lawrence qui lapait goulument son intimité, c’était lui qui écartait de ses doigts, son pénis les parois de son sexe, déchirant son innocence avec douceur, douleur. Parce que de cet instant, elle s’était secrètement languis depuis près de deux ans. Pour ce précieux moment, elle s’était préservée. Parce que sa première fois devait être spéciale, sa première fois devait être avec une personne en qui elle avait confiance, une personne qu’elle aimait. Du moins, n’était-ce pas ce qu’on espérait tous ? « Law… », mais ce n’était pas son odeur qui l’entourait et ce corps qui enlaçait le sien était bien trop grand, bien trop large pour être celui de son meilleur ami. Bien trop nu. Le voile s’était levé en même temps que le soleil et maintenant le sommeil chassé, le rêve n’était plus possible. Et maintenant que ses reins avaient filtré de son corps la majorité de l’alcool qu’elle avait ingurgité la veille, la douleur était de nouveau perceptible. Fébrilement, imperceptiblement, sa main avait glissé entre ses cuisses, son doigt entre ses lèvres intimes. Humide, visqueuse, brulante. Souillée. Difficilement, elle écarta le bras qui enserrait sa taille, elle s’extirpa hors du lit mais ses jambes, en coton la fit perdre pied. Au sol, elle enfila sa robe qui y gisait. Son doigt tachant de rouge le jaune du tissus. Des larmes déroulaient sur ses joues, silencieuses alors qu’elle se relevait difficilement. Laissant sur le sol de cette chambre qu’elle n’avait jamais auparavant visité son honneur et son estime. La route jusque chez elle, à pieds fut interminable. Des chics quartiers au bas fond. Elle avait donné la seule qu’elle avait de plus précieux à une personne qui avait déjà tout. Ca lui donnait envie de vomir. Mais une fois chez elle, elle n’eut pas le loisir de courir jusqu’au toilette ou retrouver le refuge de ses draps que la large main de son géniteur marquait sa joues avec force de ses empreintes. Elle avait perdu son équilibre précaire et s’était étalée de tout son long en travers le lino qui recouvrait le couloir. Ce même couleur où une décennie de cela, il avait cogné sa mère. Où il avait faillit de ses deux mains lui arracher la vie. L’air subitement quitta ses poumons quand cette fois, c’est sa paire de basket qui venait scier son abdomen en deux. « T’as encore été faire ta pute, c’est ça ? », son visage, derrière le rideau de sa chevelure était baigné de larmes et son corps se recroquevillait sur lui-même, cherchant à soulager sa douleur, parer en même temps les prochains coups qui pourraient suivre. « Je savais que t’étais comme elle. Avec ce joli visage… », et comme ça, il tourna les talon après avoir cracher sur sa figure avec tout l’amertume, la rage et la cruauté dont il pouvait faire preuve. Quand la douleur fut supportable, Aurora avait levé un pan de sa robe pour s’essuyer la figure avant de se relever pour la seconde fois de la matinée. Cette fois, elle n’emporta que sa coquille vide jusque la chambre de son frère. Baignée dans la pénombre offerte par ses volets, signe qu’il n’était pas encore levé. C’est grimaçante de douleur que la jolie blonde échangea sa robe souillée par un des t-shirt et short de son cadet. Il avait treize ans à présent mais il la dépassait déjà largement en taille. Dans son lit, elle le rejoignit comme bien souvent il l’avait fait quand il était plus jeune. D’elle-même, elle attrapa son bras pour s’emmitoufler contre lui, cherchant réconfort, tendresse, amour. Elle n’avait pas fait un cauchemar, non, son cauchemar, elle le vivait.

Sometimes love is not enough and the road gets tough.
« Il l’a frappé, tellement frappé… J’ai cru qu’il allait le… », elle ne terminait pas sa phrase pour la simple et bonne raison qu’elle en était bien incapable. Prononcer à haute voix ces mots, même pour les oreilles de son meilleur ami, elle ne pouvait pas. Aurora ne pouvait pas le dire parce qu’elle ne supporterait pas de les entendre. Lawrence n’avait pas besoin qu’elle en dise plus et cette fois, il ne termina pas sa phrase alors qu’il n’avait généralement aucun mal à le faire. Il savait qu’elle ne supporterait pas d’entendre que son petit frère, la chaire de sa chaire, son sang. La prunelle de ses yeux, son rayon de soleil abritait une âme ternit, souillée. Tant et tellement qu’il serait capable de meurtre. « Il va bien ? Ton… ton mec, je veux dire. », sa main libre remonta fébrilement soutenir celle qui maintenait contre son oreille, le téléphone portable. Son frêle corps secoué, comme une feuille par ses tremblements. La peur tiraillait ses entrailles, l’anticipation du pire. « Je l’espère, sincèrement. », du bout des lèvres, elle articula. Elle s’abominait d’espérer avant toute chose, qu’il s’en sorte, qu’il survive pour que son frère n’ait pas à souillé d’avantage son âme, pour qu’il ne finisse pas en taule avec le sang d’un homme qui n’avait fait qu’aimer sa sœur sur les mains. Et bordel, il l’aimait de tout son cœur. Si elle le savait c’était bien parce qu’il le lui avait dit pas plus tard qu’au début de cette semaine. Elle avait été incapable de lui répondre la pareille parce qu’elle se refusait à lui mentir alors qu’il n’avait fait qu’être honnête en lui ouvrant de la sorte, son cœur. La strippeuse ne savait même pas ce qu’elle ressentait pour cet homme qui avait encaissé tout ces poings parce qu’il était tombé amoureux de la mauvaise femme. Encore maintenant, qu’elle attendait pour savoir s’il s’en sortirait, elle n’en savait rien. Bien sûre qu’elle ne voulait pas qu’il meurt, évidemment qu’elle serait triste si ça arrivait. Mais si elle serait dévastée, ce ne serait seulement parce que ça signifierait qu’elle n’aurait pas su sauver son frère. Aberrante, elle se rendait compte qu’elle l’était à surprendre le fil de ses pensées mais c’était Junior et elle contre le reste du monde. C’était leur pacte et c’était pour la vie. « Tu veux que je vienne ? », elle aurait aimé lui dire que oui, elle ne voulait rien d’autre en cet instant que de se réfugier dans ses bras. Chercher et trouver amour et réconfort mais elle ne pourrait plus se regarder dans la glace si elle acceptait. Comment pouvait-elle fondre dans ses bras alors que l’homme qui aurait dû avoir son cœur, était entre la vie et la mort ? Dans les bras de l’homme qui détenait réellement son cœur en otage depuis bien trop longtemps, elle se sentirait trahir celui qui avait puni de l’avoir aimé un peu trop. « Non. J’ai besoin d’être un peu seule. », c’était un mensonge, c’était bien la dernière chose qu’elle avait de faire en cet instant mais elle ne pouvait s’en prendre qu’à elle-même. « Venir te chercher, alors ? Tu peux rester à la maison, tu sais, le temps que Junior se calme, par exemple. », il insistait et ce qu’il insinuait ne lui plaisait pas. « Il ne me fera pas de mal, jamais. », sa réponse avait été presque sifflé entre ses dents et elle soupira longuement, passant sa main dans ses cheveux raides de sang secs. « Je suis désolé, je suis un peu à cran. Il a besoin de moi. Merci mais je vais rentrer, t’en fais pas. Je t’appelle, promis. Je dois y aller. », mettant fin à l’appel, elle s’était levé pour aller à la rencontre du médecin. Dans sa poitrine, son cœur palpitait et au creux de son estomac, la boule anxieuse qui s’y était formée, s’alourdissait. « Il va bien, rassurez-vous. Il a le nez cassé, une méchante rupture de la peau au niveau de l’arcade sourcilière et la mâchoire déboitée. On s’en ait occupé. Il sera très vite sur pieds. », la main du médecin, dans un geste rassurant s’était posée sur son épaule et elle pu enfin laisser échapper d’entre ses lèvres un long soupire de soulagement. « Je peux le voir ? », un sourire au lèvres, il hocha la tête en lui indiquant la porte au bout du couloir. Elle le remercia et était sur le départ. « Ah oui ! La police est avec lui. Il voulait recueillir des informations sur son agression. », elle s’était figée dans son élan, son cœur loupant quelques battements. Aurora était furieuse contre son frère, atrocement, irrévocablement. Jamais encore il ne lui avait fait autant de mal, jamais il ne l’avait déçu à ce point, jamais encore, il lui avait véritablement fait peur avant ce soir mais elle ne laisserait personne l’arracher à lui. Personne. Elle poursuivit son chemin vers la chambre, d’un pas déterminé. La porte s’ouvrit devant elle, les policiers en sortaient, la saluaient au passage et en automatisme, elle en fit de même avant de s’enfermer dans la chambre. Son regard rivé sur le jeune homme bien amoché. « Qu’est-ce que tu leur as dit ? Dis moi que tu n’as pas… », il leva une main pour la faire taire et c’est bien ce qu’elle fit, ses bras se croisant en dessous de sa faible poitrine. « Merci, je suis en vie, ton frère ne m’a pas tué, félicitation. », il peinait à articuler et elle pouvait bien voir que le simple fait de parler lui demandait un effort considérable. Mais elle n’était pas d’humeur pour son sarcasme, elle n’avait pas la patience de cautionner son humour  alors qu’elle était au bord de l’hyperventilation. Ni n’était-elle capable de s’inquiéter pour une autre personne que son frère ou de compatir pour la souffrance d’un homme qui avait peut-être brisé sa famille. « Et c’est en partie parce que je tiens à le rester que j’ai rien dit, ok ?! », pour la troisième fois, aujourd’hui, un soupire de soulagement s’échapper d’entre ses lèvres. La première fois, ce fut quand enfin son frère s’était arrêté de marteler de ses poings le visage de son petit-ami. Elle se sentait coupable, coupable du manque de cœur dont elle faisait clairement part. Ce n’était pas elle et maintenant que le pire était derrière elle, elle retrouvait ses sens. « Tu devrais partir. », elle ouvrit la bouche pour protester, s’excuser, le remercier, elle ne savait pas vraiment mais il ne lui laissa pas la chance de se décider.  « Dehors. », doucement, elle hocha la tête mais elle ne broncha quand même pas. « Je… suis désolée.. », un rire jaune s’échappa d’entre ses lèvres et c’était un euphémiste que de dire qu’il semblait furieux. « De quoi exactement, Aurora ? D’aimer la planète entière hormis ton mec ? D’être une hypocrite, une égoïste sans cœur ? De pas avoir eu le temps de jouir avant que ton taré de frangin veuille me buter ? Ou d’être plus soulagée de savoir qu’il ira pas en taule que de savoir que j’ai survécu ? Sors d’ici, je veux pas voir ta gueule. Dégage. », il avait vu clair en elle, tellement qu’elle ne pouvait que sortir de la pièce sans demander son reste. Laissant derrière elle cet homme dont elle n’était peut-être pas amoureuse mais à qui elle tenait particulièrement. Un homme qui avait su quelque part la rendre heureuse, ces sept mois où il avait fait parti de sa vie. Un homme qui l’avait toujours bien traité. Avec un respect et un amour qu’elle ne méritait pas. Dans la rue, les passants la regardait étrangement. Comme s’il pouvait voir à travers tout ce sang qui marbrait ses vêtement, son visage l’être abominable qu’elle était réellement. Elle retarda l’inévitable mais elle finit tout de même par rentrer chez elle. Lessivée de tout autre émotion que sa colère, sa tristesse et sa déception. Sa honte, aussi. Parce qu’elle était mortifiée de s’être regarder dans la glace. Elle n’était pas la personne qu’elle pensait être, qu’elle voulait être. Une bonne personne. Quand elle aperçut son frère, recroquevillé dans un coin de la pièce. Les phalanges sanguinolentes, défait. L’envie de lui crier dessus, lui balancer l’entier set de vaisselle lui passa. « Il est vivant. », elle pensa qu’il aimerait à savoir qu’il n’avait tué personne quand elle se rapprocha pour s’assoir à sa hauteur. De son visage, délicatement, elle chassa les quelques mèches brunes qui collaient son front. Cette lueur folle, meurtrière avait disparue de ses pupilles à présent non dilatée. Son visage baigné de larmes, tâché de sang. La vision d’un homme qui n’était pas totalement mauvais. L’image d’un homme meurtri, détruit par la vie. Le reflet d’un homme qu’elle n’avait pas su sauver mais qui n’était pas encore perdu. Un homme qui l’aimait plus que tout au monde mais qui finirait quand même par la détruire en voulant la préserver. A lui, rien qu’à lui, il avait dit. « Viens. », elle se releva, une main tendue, attendant patiemment la sienne. C’est dans la salle de bain qu’elle le conduisit, qu’elle le déshabilla et le poussa vers leur petite cabine de douche. Elle s’extirpa de ses propres vêtement pour l’y rejoindre. Et sous la faible pression d’eau tiède, ils se lavèrent de leur péché. « Jusqu’aux étoiles, mamma. », elle avait souri. Envers et contre tout. Malgré tout. « Plus loin que l’infini, bambino, plus loin encore. », jusqu’à la mort. Mais parfois, la mort était préférable à cette souffrance...



Dernière édition par Aurora De Luca le Lun 27 Aoû - 18:31, édité 12 fois
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J.C. De Luca
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MessageSujet: Re: Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.   Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. EmptyJeu 23 Aoû - 8:28

Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3119268553 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3119268553 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3119268553 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3119268553 bae Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 891743427
T'es trop belle en Lili Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 464096950 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2314352183 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 1106788791 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 1106788791 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 1106788791 on va dire que c'est Law qui parle... même si on sait que c'est JC
Je suis trop heureuse que tu me rejoignes, ensemble on va encore faire des merveilles Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2526826356

Attache ta tuque avec d'la broche je sais comment tu aimes mes expressions Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2266979268 Les De Luca ils vont cartonner Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2351035409 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2351035409 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2351035409 J'ai tellement hâte de jouer la sista et le bro, mais aussi Lawra Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 1792334593

Bienvenue sweetheart Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 945838281 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 945838281 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 945838281 Bon courage pour ta fiche que je vais dévorer Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 891743427 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 891743427 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 891743427 et que j'adore déjà Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 521344481 comme toujours Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2526826356
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MessageSujet: Re: Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.   Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. EmptyJeu 23 Aoû - 10:25

Bienvenue Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2071613250
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MessageSujet: Re: Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.   Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. EmptyJeu 23 Aoû - 11:24

Bienvenue parmi nouuuuuus Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2071613250 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 945838281
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MessageSujet: Re: Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.   Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. EmptyJeu 23 Aoû - 12:07

Bienvenue parmi nous Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 54737898 !
Puis Lili est tellement jolie et touchante Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3719929138 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2721748421 !
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MessageSujet: Re: Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.   Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. EmptyJeu 23 Aoû - 12:36

Bienvenue Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2071613250 Lili est un super choix d'avatar. Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2721748421
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MessageSujet: Re: Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.   Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. EmptyJeu 23 Aoû - 12:44

Bienvenue parmi nous avec la sista de mon salopard d'ex Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2351035409
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MessageSujet: Re: Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.   Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. EmptyJeu 23 Aoû - 16:15

Salopard d’ex Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2845639145 naméoh Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2846943306 Votre langage mademoiselle Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2314352183
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MessageSujet: Re: Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.   Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. EmptyJeu 23 Aoû - 16:34

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MessageSujet: Re: Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.   Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. EmptyJeu 23 Aoû - 16:52

Ooooh la sœur de JC Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2526826356 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2526826356 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2526826356 J'approuve un milliard de fois (minimum) l'avatar, Lili est juste sublime Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3673969802 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3673969802

Bienvenue parmi nous et bon courage pour la suite de ta fiche (même si je pense que t'en auras pas besoin, tu gères Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 464096950 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 464096950 ) Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3719929138
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Rafe Hemingway
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─ Études : longues et fastidieuses, mais les entendre être qualifiées de brillantes est toujours aussi satisfaisant.
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MessageSujet: Re: Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.   Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. EmptyJeu 23 Aoû - 19:44

Liliii Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 891743427 Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche, ma belle ! Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3719929138
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Aurora De Luca
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─ Études : Je me passionne de la vie, de chaque être vivant que dieu a placé sur cette terre. Notamment les animaux. Je me démène pour être un jour soigneuse animalière. Je fantasme, plutôt.
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MessageSujet: Re: Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.   Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. EmptyJeu 23 Aoû - 21:21

J.C. De Luca a écrit:
Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3119268553 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3119268553 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3119268553 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3119268553 bae Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 891743427
T'es trop belle en Lili Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 464096950 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2314352183 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 1106788791 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 1106788791 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 1106788791 on va dire que c'est Law qui parle... même si on sait que c'est JC
Je suis trop heureuse que tu me rejoignes, ensemble on va encore faire des merveilles Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2526826356

Attache ta tuque avec d'la broche je sais comment tu aimes mes expressions Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2266979268 Les De Luca ils vont cartonner Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2351035409 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2351035409 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2351035409 J'ai tellement hâte de jouer la sista et le bro, mais aussi Lawra Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 1792334593

Bienvenue sweetheart Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 945838281 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 945838281 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 945838281 Bon courage pour ta fiche que je vais dévorer Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 891743427 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 891743427 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 891743427 et que j'adore déjà Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 521344481 comme toujours Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2526826356
On sait bien que J.C trouve que sa lil mama est trop belle Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 1438211049
Toujours contente de te rejoindre, bae!! Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3375808537 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 3375808537

Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2266979268 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2266979268 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2266979268 putain, vous avez vraiment les meilleurs expressions de la galaxie Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2526826356
Trop hâte de jouer avec tes salopards Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2526826356 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 945838281 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 521344481 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 945838281 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 521344481 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 390824067

Eh oui, la seule et unique soeur du sociopathe Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2314352183
MERCI à vous TOUS Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2393726882 Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 891743427
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Solal Hamilton
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─ Emploi : capable de n'importe quoi pour l'odeur d'un billet.
─ Études : y en a pas. y en a jamais eu.
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MessageSujet: Re: Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.   Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. EmptyJeu 23 Aoû - 21:55

bienvenue sur fd Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2721748421
bon courage pour ta fiche et si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite surtout pas Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. 2314352183
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MessageSujet: Re: Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good.   Aurora ✾ When it hurts, but it hurts so good. Empty

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