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─ Études : En pause pour le moment
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|  Sujet: False Kings - Yloé Mer 14 Mar - 20:22 | |
| Yloé Turner There can be so much tragedy in a smile, such desperation in embrace | → id card ► NOM: Turner
► PRÉNOM : Yloé, tu sais pas trop où ils ont trouvé un prénom pareil, ni à quel moment ils se sont dit que ce serait une bonne idée d'appeler leur fils ainsi.
Toute ta vie on a supposé que tu étais une fille, on s'est pas mal moqué de toi, tu as même essayé d'utiliser un autre prénom pendant un temps, Liam, mais finalement tu as renoncé, finalement ton prénom tu l'aimes bien, ça change, au moins on se souvient de toi
► ÂGE : 18 ans
► DATE DE NAISSANCE : 27 octobre 1999 ► NATIONALITÉ : Américain
► ORIENTATION SEXUELLE : Homosexuel, tu le sais depuis longtemps mais tu ne l'as jamais dit encore, tu te prends déjà suffisamment de coups dans la tronche et d'insultes homophobes par ton beau-père, tu aurais peur de tout faire empirer s'il apprenait qu'en plus, c'est vrai
► SITUATION MATRIMONIALE : Célibataire
► FILIÈRE/ETUDES (pour les personnages en cursus scolaire) : Lycéen, en dernière année, tu as redoublé un peu, t'en avais pas grand chose à faire des cours avant cette année
► EMPLOI (pour les citoyens, anciens étudiants, ou les étudiants possédant un petit job) : Serveur dans un bar pas vraiment regardant sur l'âge de leurs employés
► SITUATION FINANCIÈRE: Pauvre, les loyers impayés, les relances sur les factures d'électricité et la bouffe discount c'est ton quotidien
► QUARTIER RÉSIDENTIEL: South Side
► GROUPE: broken souls
► SCÉNARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ : Inventé |
► Tu n'étais pas destiné à avoir une vie aussi merdique, une famille aussi brisée, ton histoire ressemblait à celle de beaucoup d'autres, une enfance banale, une enfance heureuse, l'argent manquait mais tes parents avaient toujours eu la délicatesse de ne pas te le faire ressentir, de ne pas t'inquiéter, tu n'entendais jamais parler des loyers impayés, des factures d'électricité, des relances qui s'entassaient, pas plus que tu n'avais conscience des activités que faisait ton père pour essayer d'empêcher sa famille de sombrer, tu ne savais rien et ce fut certainement pour cette raison que son arrestation fut si violente à vivre pour toi, pour ça et parce que tu étais là ce jour là.
► Tu avais huit ans à peine, tu jouais simplement avec lui dans la cour de votre immeuble quand ils ont débarqué, ne lui laissant même pas le temps de parler, ne lui laissant même pas le temps de demander à ce qu'on te tienne écarté, encore aujourd'hui il t'arrive de revoir ces images en cauchemars, celles de ton père plaqué au sol, menotté de force sous tes yeux écarquillés, choqués, alors que tu hurlais, essayant impulsivement de les empêcher de l'arracher à toi, tu te souviens la froideur, la violence de leurs gestes, les mains sur toi alors qu'ils t'embarquaient aussi, incapables de comprendre que tu n'étais qu'un gosse effrayé, incapables de faire preuve d'un soupçon d'humanité
► Tu te rappelles ensuite les heures passées sur les bancs du commissariat, à pleurer en silence alors que personne ne daignait venir te parler, t'expliquer ce qu'il se passait, les heures qui te paraissaient une éternité avant qu'enfin on ne vienne vers toi, avant qu'enfin une femme, ayant remarqué la détresse dans laquelle tu te trouvais t'explique les choses, avec des mots accessibles pour l'enfant que tu étais. Ton père, ton héros, était impliqué dans un trafic d'armes, faisait partie d'un gang, ton père, ce modèle, cet homme parfait, tu risquais de ne pas le revoir libre avant de nombreuses années et dans ta tête d'enfant, parce qu'il était impossible, trop difficile de le blâmer lui, de le condamner lui, ce fut eux, les gangster crips, que tu tins pour responsable, que tu tenais encore pour responsable, pour toi ils avaient volé ton père, ils l'avaient condamné
► Paradoxalement pourtant ce ne fut pas à cet instant précis que les choses basculèrent réellement, ce n'était jamais que l'élément déclencheur que tu ne voyais pas encore, dans ton quartier avoir un père en prison était loin d'être exceptionnel, presque anodin, tu n'étais pas confronté aux jugements, tu continuais ta vie avec ta mère normalement
► La véritable chute eut lieu quelques années plus tard, lorsque ta mère refit sa vie, séparée de ton père depuis de long mois déjà tu la voyais sortir de plus en plus tard le soir, revenir avec un sourire niais sur le visage, tu avais déjà deviné, tu te doutais et pourtant instinctivement, ce beau-père qu'elle t'imposait, tu n'as jamais pu le supporter, tu l'as détesté à l'instant même où tes yeux ont croisé les siens, parce qu'il venait voler la place de ton père peut-être, une place qui n'était pas à prendre, parce qu'il venait bousculer une routine qui durait depuis plusieurs années probablement mais il y avait autre chose aussi, quelque chose en lui qui éveillait en toi une voix qui te soufflait de te méfier.
► Il aura fallu seulement quelques mois pour que tu comprennes de quoi il s'agissait, il aura suffit d'un rien, une mauvaise note au lycée couplée à quelques minutes de retard parce que tu n'avais pas vu le temps passer et les coups avaient commencé à pleuvoir sur toi alors même que le son de la porte qui claquait derrière toi résonnait encore, la faute à l'alcool sans doute, tu l'avais rapidement compris en voyant les canettes de bière qu'il s'enfilait et qu'il entassait dans la poubelle chaque jour depuis qu'il s'était installé ici, le pire restait probablement de voir ta mère ne rien faire, rester passive, te dire droit dans les yeux que dans un sens, d'un côté, tu avais dû le mériter, le chercher, c'était peut-être juste sa manière à elle de se protéger, de se dire que si c'était toi ce n'était pas elle, utiliser son propre gamin comme bouclier.
► Ton quotidien devint alors rapidement rythmé par les restrictions, la répression, la violence et la peur te forçant à développer un certain talent pour le mensonge et la dissimulation, tu ne comptais plus le nombre de fois où tu avais accusé la boxe pour les traces de coups sur ton visage ou sur ton corps, où tu avais volé du maquillage à ta mère pour essayer de rattraper les dégâts tout en essayant simultanément de te forcer à chercher un peu d'aide, toutes les semaines tu passais la porte du commissariat, toutes les semaines tu essayais d'aller porter plainte, toutes les semaines tu faisais demi-tour aussi, espérant qu'un jour quelqu'un vienne te retenir ou que tu aies la force d'aller au bout de ta démarche
► Tu t'es réfugié dans le travail, au lycée, en dehors aussi, ayant réussi à trouver un petit job dans un bar peu regardant sur l'âge de leurs employés, c'était ta manière à toi de passer le moins de temps possible chez toi et aussi ta manière à toi de continuer à vivre malgré ça, tu n'avais jamais été le genre de personne à te laisser abattre, jamais le genre de personne à pleurer sur ton propre sort, au contraire, tu avais besoin de transformer le négatif en positif, tu avais constamment besoin d'objectifs pour avancer et sortir du lycée diplômé, avoir suffisamment d'argent pour rejoindre l'université était rapidement devenu ta priorité
► Mais comme toujours avec toi, tu étais incapable de faire quoique ce soit avec modération, toujours dans l'excès, si le travail était ta priorité, il commençait surtout à te détruire la santé, tu terminais le travail bien après minuit, te levais à l'aube pour réviser avant d'aller au lycée, tu dormais à peine quelques heures par nuit, arrivant régulièrement en cours incapable de tenir debout, incapable de garder les yeux ouverts, ton corps lâchait lentement, il t'arrivait souvent de t'écrouler à la salle de sport, au travail, n'importe quand, tu tombais de plus en plus souvent malade aussi, t'affaiblissant sans même le réaliser
► La seule personne au courant de ce qu'il se passait chez toi, de ce que tu faisais, en dehors de quelques amis proches, était ton père, malgré les interdictions tu n'avais jamais cessé d'aller le voir, plus ou moins en secret. Tu savais pertinemment qu'il ne pouvait rien pour toi de là où il était mais il était la seule personne à ne t'avoir jamais trahi. Depuis quelques temps, témoin impuissant de la dégradation affolante de ta santé il essaye à chaque visite de t'inciter à rejoindre son gang, te promettant qu'ils sauraient t'aider, te protéger, qu'avec eux ton beau-père serait bien incapable de te toucher à nouveau et la tentation est là malgré toi, malgré tout ce que tu as pu leur reprocher, même si tu essayes tant bien que mal de résister.
Au fond tu n'es jamais qu'un pauvre gosse qui se débat pour ne pas se noyer, pour rester quelqu'un de bien alors que le destin semble s'acharner contre lui, alors que le gang lui tend les bras.
► PSEUDO/PRÉNOM: Sephi/Alexandria ► ÂGE: Je compte plus  ► FRÉQUENCE DE CONNEXION: Trop souvent pour ma vie sociale ► OÙ AS-TU DÉCOUVERT LE FORUM ? PAR QUI ? Euh...Facebook non ?
Je sais plus  ► ET, TU EN PENSES QUOI ? DES SUGGESTIONS ? Je vous aime  ► UN MOT À AJOUTER ? Vous me rendez faiiible, si faiiible ► SOUHAITES-TU RÉSERVER LE NOM ET/OU PRÉNOM DE TON PERSONNAGE Juste le prénom - Code:
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<b> [color=#e15f5f]► [/color]GRAY FABIAN </b> → <i> Yloé Turner</i>
Dernière édition par Yloé Turner le Jeu 15 Mar - 23:10, édité 2 fois |
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─ Emploi : barman dans un putain de bar miteux la nuit, serveuse dans un fast-food qui craint le jour.
─ Études : ça fait bien longtemps que j'ai pas foutu les pieds dans une école.
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| | Sujet: Re: False Kings - Yloé Ven 16 Mar - 11:12 | |
| BIENVENUE A CHICAGO ! oh le petit chat  il me fait trop de peine 
Toutes nos félicitations ! Te voilà enfin validé(e) et prêt(e) à démarrer la grande aventure qui t'attend à Chicago. Nous sommes heureux de te voir enfin parmi nous et nous allons t'aider à faire tes premiers pas sur le forum afin que tout se déroule pour le mieux ! L'ordre dans lequel tu t'y prends importe peu mais voici la liste des choses qui pourront te guider :
→ Tu ne vas tout de même pas rester à la rue n'est-ce pas ? Viens donc demander ton logement et puis rester dans le canapé à rien faire c'est bien, mais gagner de l'argent c'est mieux. Alors pôle emploi, c'est par ici.
→ Très important aussi, les relations humaines ! La solitude c'est pire qu'un paquet de cigarettes alors on te conseille vivement d'aller poster ta fiche de liens pour enrichir ton environnement social.
→ Et si tu un accroc des réseaux sociaux tu peux aussi te faire un petit compte instagram. Et n'oublie pas de nous donner ton numéro de téléphone histoire qu'on s'amuse à t'appeler à quatre heures du matin pour te rappeler gentiment que t'es pas venu à la soirée d'hier.
Pour le reste à toi de jouer, va trouver des partenaires de rps, va papoter dans la cb ou flooder comme tu sais si bien le faire ! Mais surtout, amuse-toi !
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─ Quartier : un appartement entièrement rénové par ses soins dans le south side.
─ Emploi : gérant et entraîneur dans une salle de boxe française, mais il ne serait rien sans les petits à côté. bosser honnêtement, ça ne rapporte pas grand chose de nos jours, pour ne pas dire rien du tout.
─ Études : des études ? ça fait bien longtemps qu'il a abandonné.
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regarde nous 
Rhoooo va nous falloir un lien 
