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─ Je suis sur FD depuis le : 22/09/2018
─ Âge : 31
─ Quartier : N'habitant pas Chicago, elle loge présentement dans un hôtel du Westside.
─ Emploi : Fait parti de l'équipe de campagne du gouverneur Californien, son père. Elle est adjointe du directeur de la campagne.
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|  Sujet: Celia ✻ open up again i believe in second chances Sam 22 Sep - 18:14 | |
| CELIA MONTOYA Forgive me | → id card ► NOM: Fierté ou non, ce n’est pas un nom qu’elle porte par plaisir. Hérité. Patrimoine. Elle porte le nom de son père Montoya, mais si elle écouterait son cœur c’est celui dont elle est amoureuse qu’elle porterait fièrement. Une perte. Un abandon. Elle pense ne pas avoir le droit à celui-ci, pas après ce qui leur est arrivé. ► PRÉNOM : Sa mère souhaitait un prénom doux, simple, qui irait avec l’image de l’enfant qu’elle espérait avoir. En voyant le visage de sa fille, Celia lui est apparu comme le choix par excellence. Elle ne voyait pas plus beau prénom que celui-ci pour ce poupon angélique qu’elle tenait dans ses bras. ► ÂGE : 26 ans, jeune et pourtant elle porte le poids de toute une vie sur ses épaules. ► DATE DE NAISSANCE : 2 septembre 1992, à Caracas au Venezuela. ► NATIONALITÉ : Elle possède deux nationalités, par sa naissance sur territoire sud-américain, elle est vénézuélienne. Mais ses parents ayant immigrés alors qu’elle n’avait que deux ans, elle est devenue américaine. Californienne. ► ORIENTATION SEXUELLE : Elle sait admettre et reconnaître la beauté de chacun, mais elle n’a jamais été attirée par les femmes. Son corps ne répondant qu’à l’homme. L’homme, le vrai. Celui qui en a dans le pantalon ! ► SITUATION MATRIMONIALE : Depuis trois ans, elle est fiancée à un homme que son père trouve « parfait » pour elle. Vieil ami de la famille. En vérité, bien qu’elle ne porte plus son alliance en plastique depuis cinq ans, il se trouve qu’elle est toujours mariée à son premier mari. ► FILIÈRE/ETUDES : Ayant fuguée à sa dernière année de lycée, elle ne l’a jamais fini. Une désolation pour sa famille. Une rébellion pour elle. Un avenir incertain. ► EMPLOI : Bien qu’elle n’ait aucun diplôme en poche, elle s’est trouvé un emploi sur. Travaillant pour son père le gouverneur de la Californie en tant qu’adjointe du directeur de campagne. C’est elle qui écrit ses discours et travaille à améliorer son image pour satisfaire les électeurs. ► SITUATION FINANCIÈRE: De l’argent elle en a toujours, sa famille n’est certes pas dénuée de celui-ci. C’est dans un cocon douillet qu’elle a grandi, jusqu’à tout laisser pour vivre de très peu de chose. Bien que l’argent n’achète pas le bonheur, il aide énormément à se construire, à s’assurer un avenir. Elle s’est retournée vers celui-ci dans un moment difficile de sa vie et si aujourd’hui elle est très aisée financièrement c’est surtout grâce à son fiancé. ► QUARTIER RÉSIDENTIEL: Après cinq ans loin de Chicago, la voilà de retour. Elle ne pense pas revenir pour de bon, sa vie en Californie est loin d’être fini. Elle s’est donc loué une chambre dans un hôtel du downtown le temps de son séjour. ► GROUPE: golden chains. ► SCÉNARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ : Inventé. |
► Plutôt le bec salé, elle peut littéralement manger un paquet de croustille à elle seule si celui-ci est ouvert, une addiction, un pêché mignon. Celui-ci est à elle et elle pourrait se battre bec et ongle avec la personne qui aura l’audace de plonger la main dans son sac. Ce qu’elle préfère, c’est lécher chaque doigt de ses mains après s’être empiffrée. Elle ne lave celles-ci qu’une fois qu’elle a léché tout l’assaisonnement qui couvre ses doigts. Elle manque cruellement d’élégance en faisant cela, produisant des bruits de succion, mais c’est tout simplement plus fort qu’elle. ► Elle ne commence jamais une journée sans caféine, si elle a le bec salé, au petit-déjeuner c’est tout le contraire. Déjà, elle ne boit pas son café sans une tonne de sucré et de lait – ou crème – elle a en horreur le goût amer d’un café noir. C’est pourquoi elle raffole des cafés sucrés servi au Starbucks. Plus ce dernier ressemble à un dessert et plus elle sera comblée, le caramel dégoulinant, crème fouetté artificielle, chocolat… Tout peut y passer. Son fiancé sort donc chaque matin pour aller lui acheter un café comme elle les aimes et elle trouve celui-ci sur le plan de travail avec une viennoise au chocolat provenant d’une boulangerie de quartier dont elle raffole. Voilà pour elle le petit-déjeuner parfait ! ► Si elle trouve que manger est un plaisir, elle ne sait pas cuisiner. Elle a pourtant essayé, mais tout aliment qu’elle touche devient automatiquement un désastre culinaire. Elle carbonise le pain rôti, les pâtes finissent toujours par coller au fond du chaudron. Si au début elle possédait la bonne volonté de faire, aujourd’hui, elle admet ouvertement être une catastrophe et préfère laisser cette tâche à quelqu’un de plus expérimenté qu’elle. Toutefois, il lui arrive d’ouvrir un livre de cuisine et d’y lire les recettes. Elle n’a pourtant pas eu le courage d’essayer d’en reproduire une, trop craintive de finir par mettre le feu à la cuisine de son appartement. ► La musique est un art qui lui parle, si elle sait chanter, elle ne le fait qu’à certain endroit : dans un karaoké ou dans sa salle de bain. Elle n’a pas de style particulier, elle peut tout écouter tant que la musique lui plait. Parfois, seul le rythme fait son bonheur, elle n’écoute pas les paroles, mais peut-être devrait-elle ! Depuis son enfance, elle est une fan – un peu tardivement – des Backstreet Boy. Nick Carter. OH. MY. GOD. Elle connait toutes les paroles de leur chanson par cœur – même leurs chorégraphies. Dans sa salle de bain, elle leur rend hommage, chantant ses morceaux favoris avec comme micro sa brosse à cheveux ou bien sa brosse à dent. ► L’art est quelque chose qui la passionne, la beauté, l’expression, les émotions que peuvent véhiculer une peinture, une sculpture, une photographie, un poème, la musique… Il n’est pas rare qu’on puisse la voir le nez plongé dans un recueil de poésie ou se baladant dans un musée. Envahie par les émotions, elle peut aisément verser une larme. Pourtant, elle n’est pas le genre de femme à montrer si aisément ses faiblesses, mais l’art vient toujours la chercher à un point tel qu’elle peut sembler une autre personne. Elle a elle-même essayé plusieurs disciplines diverses : Piano, peinture, danse, théâtre. Elle a compris qu’elle n’avait pas le talent de certain, c’est pourquoi elle les pratique surtout plus en loisir que d’en faire carrière ou d’étaler ses œuvres aux publics – enfin si, la danse. Ça elle ne peut s’empêcher de le cacher. Elle se déhanche dès que la musique prend possession de son corps. Elle se met donc à danser qu’importe l’endroit, dans les rues, au boulot, dans les boites de nuit… Elle ne porte aucune attention aux jugements que les gens peuvent avoir d’elle. ► L’interdit lui a toujours plus, si son père lui disait qu’elle était privée de sortie, c’est certain qu’elle faisait le mur. La rébellion. Elle n’avait que cela en tête. Drogue. Alcool. Tatouage. Elle couchait même avec les employés de son père. Tout ce qui pouvait faire hérisser les poils de celui-ci. Cette fureur qui pouvait se lire dans son regard alors que sa fille se tenait devant lui, affrontant cet homme qui n’avait qu’un mot à la bouche : apparence. Pourtant, Celia n’a jamais réussi à faire scandale sur sa personne, mais elle aurait aimé et elle aurait pu si on n’avait pas étouffé son histoire. ► Depuis qu’elle est revenue dans la vie de sa famille, elle prend soin de son apparence. Elle semble toujours sur son trente-et-un, tailleur, chignon, talon haut, la définisse très bien. Elle ressemble en tout point aux femmes de carrière et c’est ce qu’elle est devenue. Elle passe donc chaque matin quelques heures pour se préparer et le soir, elle met le double de temps pour faire les soins pour sa peau, ses cheveux. Elle prend énormément soin d’elle. Et pourtant, parfois lorsqu’elle a simplement envie d’être la fille simple qu’elle a longtemps été, elle se balade chez elle en pyjama ou avec des vêtements décontractés. ► Si on peut la croire superficielle, elle est loin de l’être. C’est d’avantage une image qu’elle s’est construite avec les dernières années. Mais Celia n’a rien de tel, elle n’a que faire des marques vestimentaires, pour elle tant que celui-ci lui convienne cela lui suffit. Elle ne cherche pas à posséder la plus belle maison, la dernière technologie, l’herbe plus verte que son voisin. Elle se fiche pas mal de tout ceci et pourtant, on continue de croire qu’elle est ainsi. Peut-être par son attitude. Son fiancé s’est entêté à lui offrir une bague avec le plus gros diamant qu’il pouvait lui offrir. Elle lui a pourtant dit qu’elle voulait quelque chose de discret, quelque chose de simple, mais il faut croire qu’il ne l’a pas écouté : « Tu mérites ce qu’il y a de plus beau. » C’est gentil. Elle peut le concevoir, mais quand elle ouvre sa boîte à bijou, la bague en plastique que son premier mari lui a offert trône dans ceux-ci. Cette bague à ses yeux n’a pas de prix. Elle a la plus grande des valeurs, l’amour qu’un homme lui portait. C’est ce qu’elle aime de cette bague qu’elle n’arrive pas à se départir. ► Véritable fan de John Hughes, elle connait tous ses films par cœur. Vieux classique adolescent des années 80, elle aime bien ce genre de film. Elle les trouve divertissant, simple et touchant. Lorsqu’elle n’a pas le moral, elle regarde Ferris Bueller’s day off, Matthew Broderick est sans doute son idéal masculin – étrange quand on connait le physique de son mari et son fiancé. Un fantasme, reste tout de même qu’un fantasme. ► Si elle a du mal à être seule, qu’elle aime regarder des comédies romantiques le samedi soir devant sa télé avec un immense sac de popcorn. Elle ne rêve pas de romantisme, elle aime séduire, mais elle n’attend pas d’un homme qu’il lui fasse un dîner aux chandelles. Elle préfère que ce soit plus subtile, personnel. Elle a eu beaucoup de difficulté à s’accoutumé à cela avec son fiancé, loin d’être habitué à des attentions romantiques de son ex. Elle était d’avantage habitué à se faire sauter dessus par ce dernier avant même qu’elle n’évoquer une touche de romantisme ! ► Comme toute femme, elle aime être cajolée, sentir le contact d’un homme. Il n’est pas rare qu’elle se blotti contre son fiancé le soir devant le journal télévisé, un verre de vin à la main. Mais par-dessus tout, elle aime le sexe, elle en est épanouie à un point où elle ne se cache pas. Il y a toutefois une chose qu’elle ne mentionne pas, qu’elle garde pour elle, parce qu’elle trouve ça complètement idiot, mais aussi gênée. Dans son tiroir à petite culotte se trouve un vibrateur, celui-ci porte le nom de son ex. Elle ne le dira pas, mais il lui manque chaque jour depuis qu’elle est partie ! ► Elle ne sait pourquoi, mais les hommes plus vieux l’ont toujours attiré. Les garçons de son âge, elle ne s’est jamais retournée pour les regarder. Elle désirait l’expérience, la maturité. Si un garçon de sa classe lui faisait un compliment ou lui demandait à sortir, elle se montrait toujours gentille en lui faisant prendre un râteau colossal. Elle ne souhaitait pas être méchante, mais au lieu de posé son regard sur ses camarades de classe, elle tournait la tête en observant les aînés. Celia a toujours su attirer les regards, belle, charismatique, douce et gentille, elle s’est toujours montrée charmante avec quiconque. Tout du moins avec la gente masculine, parce que les filles ça toujours été une autre paire de manche. Rivalité la majeure partie du temps, elle avait la réputation d’être une fille facile. Ce qui n’était pas loin de la réalité. Ses cuisses, elle les a ouvertes pour bon nombre d’homme. ► Elle a horreur de tout ce qui peut toucher un œil, voir quelqu’un toucher sa cornée la rend mal à l’aise. Elle se cache les yeux pour ne pas voir. Elle n’arrive pas à ouvrir les yeux sous l’eau ou ne supporte pas de se mettre des gouttes dans ses yeux. Allez chez l’ophtalmologue est une chose qu’elle essaie d’éviter. ► À son poignet gauche, elle possède un quartier de lune. ► Elle parle anglais, mais aussi l’espagnole qui est sa langue maternelle. ► Certaine personne préfère playboy, Celia, elle, elle préfère les romans érotiques. Ces longues pages qui l’enflamment, la font rêver, la transporte dans un univers torride qui la comble parfois plus que ce que son fiancé puisse le faire réellement. Les pages de ces romans se retrouvent tous avec les pages cornées, une couverture courbée, l’encre partiellement effacé. ► Elle n’a jamais voyagé en dehors des États-Unis, pourtant, elle aimerait bien. Un jour, elle aimerait visiter la Suède.
► La famille a toujours été quelque chose d’important à ses yeux. Pourtant, Celia ne possédait pas une très bonne relation avec son père et encore moins sa mère. Elle s’est donc rapprochée de certaine personne, notamment sa grand-mère. Un véritable modèle pour elle, délicate, mais forte de caractère. Elle a découvert l’art avec cette dernière, artiste peinte, elle est d’ailleurs le dernier sujet que sa grand-mère a peint avant de mourir. ► Si elle avait un modèle féminin aussi fort que sa grand-mère paternelle, elle a trouvé un modèle masculin, une figure paternelle au sein de son oncle, le frère de son père. Toujours charmant, attentionné avec elle. C’est lorsque sa mère décéda qu’il changea la vision des choses pour la jeune Montoya. Alors qu’elle n’était âgée que de six ans, il s’est mit à fantasmer sur elle. Un jouet plaisant, excitant, alléchant et ce petit manège a duré jusqu’au treize ans de la jeune fille. À partir de cet âge, il a pleinement abusé d’elle. Une chose que son père n’a jamais su, alors que sa mère, elle, elle savait, mais n’a jamais rien dit. ► Ne pouvant se confier à personne, se dégoûtant elle-même de ressentir une forme de plaisir, elle a cherché à comprendre cette sensation. Elle cherchait le réconfort et la sécurité dans les bras de ceux qu’elle estimait pourrait la défendre. Elle s’est donc tournée vers les employés de son père, mais aussi des hommes beaucoup plus vieux qu’elle. ► À seize ans, elle a vidé son petit cochon prenant tout ce qu’elle possédait de plus important à ses yeux et sans prévenir, un soir, elle fugua. À la gare routière, elle a pris un billet pour le premier bus qui quittait Santa Barbara pour une destination X. Elle cherchait à mettre le plus de distance possible entre elle et sa famille, aboutissant au terminus de Chicago. Un trajet de deux jours et demi, épuisée, elle ne pouvait pourtant pas rester là sans domicile. Elle a cherché un toit. Avec le peu d’argent de poche qui lui restait, une fausse carte d’identité, elle est entrée dans un bar. Quoi de mieux qu’un bar pour trouver un toit pour une nuit ? C’est là qu’elle tombait sur Aksel. Il était tout ce que son père pouvait détester et tout ce qu’elle pouvait aimer. Il n’en fallu pas plus pour qu’elle se retrouve chez lui pour la nuit – et pour les suivantes. ► Squatter c’est bien beau, mais elle n’a jamais pu nier que ce garçon chez qui elle vivait lui plaisait. Si elle pouvait se montrer mignonne, elle pouvait aussi être une vraie allumeuse et si les mois s’écoulaient sans qu’il ne se passe rien. Elle ne pouvait que désespérée, jusqu’au moment où ils passèrent le cap de la baise. Et quelle baise ! Un petit plaisir de plus dans leur colocation, mais bien avant qu’elle ne le réalise elle était sous son charme. Ne pouvant résister au jeune finlandais, elle en tombait amoureuse. ► À dix-huit ans, elle tombait enceinte. Un accident de parcours. Ne pouvant se payer la pilule de contraception, autant dire que la surprise fuse-t-elle qu’elle tomba de haut. Pourtant, elle fit le choix de garder son enfant ne pouvant se résoudre à se faire avorter, mais l’annoncer à son partenaire de vie n’était pas la chose qu’elle estimait la plus facile. Elle lui a donc caché les premières semaines, cherchant un moyen pour lui dire. ► Si elle pensait pouvoir un enfant avec l’homme qu’elle aimait serait une chose facile, elle avait tort, alors qu’il apprenait pour sa grossesse, c’est seule qu’elle se retrouvait. Abandonnée. Déroutée. Et pourtant, il revint. Elle ne sait pas pour quoi il est revenu, mais elle n’a jamais cherché à comprendre pourquoi. Tout ce qu’elle savait c’était qu’elle l’aimait et elle voulait vivre avec lui, et cela pour toujours. C’est ce qui la fit accepter sa demande en mariage. Mariée. Mère. Heureuse et comblée, elle ne pouvait pas croire que la vie pouvait venir détruire tout cela. Sachant très bien ce que faisait Aksel, son insouciance s’envolait le jour où elle pensa réellement perdre son aimé. Prise d’inquiétude, elle reprenait contact avec son père. Elle voulait tout abandonner dans cette ville, qu’ils s’en éloignent le plus possible pour offrir à leur fille une vie meilleure, mais rien ne se passa comme elle pensait. Alors Aksel la mettait de dehors de leur appartement, elle ne chercha pas à revenir. ► Ayant quitté son mari ainsi que sa fille, elle quittait Chicago avec la conviction qu’elle pourrait réussir, qu’elle pourrait gagner de l’argent sans risque et un jour, elle reviendrait. Elle reviendrait pour sa fille que son mari lui avait prise. Si son idée lui semblait être la meilleure chose à faire, elle avait tout faux. Cinq ans qu’elle a passé loin de son enfant, de son ex… Si au début, elle vivait dans un appartement minable, elle est vite retombée sur ses pieds en acceptant le poste que lui proposait son père. ► Entre temps, elle a pu revoir Will. Un ami de la famille. Si elle pensait se limiter à une relation amicale, aujourd’hui, ils sont fiancés. Elle ne peut pas dire que ce qu’elle éprouve ressemble à ce qu’elle vivait avec Aksel, mais elle aime la présence de Will. Alors que leur mariage approche à grande vitesse, qu’elle se meurt d’avoir laisser sa fille, son fiancé l’a convaincu d’aller chercher sa fille. De reprendre ses droits. C’est pourquoi elle débarque à nouveau à Chicago ! ► PSEUDO/PRÉNOM: monocle. alias Alice. ► ÂGE: 28 ans, le temps passe trop vite ! ► FRÉQUENCE DE CONNEXION: Dès que je peux. ► OÙ AS-TU DÉCOUVERT LE FORUM ? PAR QUI ? Il me semble que c'était sur facebook. ► ET, TU EN PENSES QUOI ? DES SUGGESTIONS ? Je suis faible, ça en dit long sur ce que j'en pense  ► UN MOT À AJOUTER ? Luv u  Et un bisou sur votre fesse gauche, si voulez pas de jalousie, je peux en faire un aussi sur la droite !  ► SOUHAITES-TU RÉSERVER LE NOM ET/OU PRÉNOM DE TON PERSONNAGE Réserver le prénom oui, le nom non  - Code:
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Dernière édition par Celia Montoya le Jeu 25 Oct - 4:37, édité 7 fois |
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